Editorial
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La sortie de Skyrim le 11 novembre est l’occasion pour Merlanfrit de parler de l’exploration et de la liberté dans les mondes ouverts.
Editorial
La sortie de Skyrim le 11 novembre est l’occasion pour Merlanfrit de parler de l’exploration et de la liberté dans les mondes ouverts.
Ou comment les mondes vidéoludiques, en s’ouvrant, se sont remplis de l’imaginaire des joueurs.
Peut-on encore aimer l’Amérique trumpisée ? En tout cas un road trip sur les Interstates de The Crew peut nous aider à rechercher les traces du rêve américain : celui de nos amours littéraires et musicales.
Metal Gear Solid V : The Phantom Pain
Jeu d’adieu, Metal Gear Solid V : The Phantom Pain est un passage de témoin entre Hideo Kojima et le joueur. Un legs qui clôt une relation tumultueuse.
The Division est un jeu détestable : le fantasme paramilitaire dans les rues de Manhattan, l’éloge de la loi martiale, très peu pour moi. Et pourtant, grâce à la rigueur de ses mécanismes, le MMO-TPS d’Ubisoft est passablement plaisant.
Fallout 4, ou comment la nostalgie peut sauver du néant un jeu rouillé.
Dragon Quest VIII, Dragon Quest (série)
Dragon Quest VIII, périple vers le ciel.
Jeu de ferrailleur au moteur pétaradant, Mad Max est plein de promesses. Mais le bolide d’Avalanche est trop cabossé pour réellement arriver à destination.
Désolés. Vraiment, désolés. On a fait un jeu vidéo. Un simple jeu, avec des objectifs, des mecs à tuer et des voitures qui explosent. C’est tout. Comment ça vous n’en voulez pas ? Mais on pensait que vous aimiez ça, vous, les jeux vidéo juste des jeux vidéo ?
Metal Gear Solid V : The Phantom Pain
Hideo Kojima livre avec son dernier "Metal Gear Solid" un jeu-monde à la proposition ludique inattendue, où l’auteur s’efface pour offrir un ultime baroud d’honneur à son plus fidèle allié : le joueur.