Guillaume Chevalier

scénariste, ciné/ludophile engagé, joueur depuis Donkey Kong Country. Réalisations visibles sur guillaume-chevalier.fr

Les articles de Guillaume Chevalier :

Poisson frais

Ape Out

Le jeu fait pour toi

Quoi, t’as pas encore essayé Ape Out ? Non, mais il faut que t’y joues, il est parfait pour toi.

Return of the Obra Dinn

Mise en ordre

Cette illustration vous pique les yeux, vous décolle la rétine ? C’est tout à fait normal. Ne détournez pas le regard pour autant, ce serait bien dommage...

Pyre, Bastion

Le Feu et le Vent

Pyre, jeu coloré et nerveux de Supergiant Games, n’a a priori rien en commun avec la La Horde du Contrevent, roman fébrile d’Alain Damasio. Et pourtant...

Laser League, Olliolli, Not a Hero

Le flow comme horizon

En quatre jeux, le studio anglais Roll7 a réussi à trouver sa patte. Olliolli 1 & 2, Not a Hero et Laser League partagent ainsi une esthétique flashy, un rythme endiablé, et surtout le même but : être funs. Entretien avec John Ribbins, co-fondateur du studio, sur ces petits "jeux" qui relèvent autant du travail d’orfèvre que du game design.

Poisson frais

Frostpunk, This War of Mine

Glacial

Frostpunk, le dernier né des créateurs de This War of Mine est arrivé avec les beaux jours. Mais a-t-il autre chose à proposer qu’un monde froid et sans vie ?

Surgelé

Speed Busters

Le démon de la vitesse

En 1998, mes potes les plus chanceux s’éclataient sur Need For Speed Hot Pursuit tandis que les poissards de la cour de récré se traînaient sur Lego Racing. Moi, j’avais Speed Busters, ode à la nitroglycérine pop et colorée, et j’étais l’homme le plus heureux du monde.

Surgelé

S.T.A.L.K.E.R. : Shadow of Chernobyl

La Zone, 10 ans après

Ceux qui les ont connus sont encore hantés par les couloirs blafards de STALKER, Shadow of Chernobyl...

Fonds marins

SimCity, Cities : Skylines, Urban Empire

Villes sans Histoire(s)

Et si, à force de laisser trop de contrôle au joueur, les city-builder ne nous racontaient plus rien ?

Fonds marins

Simple divertissement ?

"Qu’on me laisse jouer en paix ! " semble être le cri de désespoir de certains joueurs. Le plaisir du jeu paraît à leur yeux incompatible avec le sérieux propre aux questions sociales. Mais le jeu vidéo peut-il être ainsi réduit à un simple rôle de divertissement ?

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