S.T.A.L.K.E.R. : Shadow of Chernobyl, Metro Exodus
From Novossibirsk with love

Je t’écris de Novossibirsk. Le temps est pourri, il y a des radiations, des mutants et des araignées mutantes partout, et pourtant ce n’est pas loin d’être le paradis.
S.T.A.L.K.E.R. : Shadow of Chernobyl, Metro Exodus
Je t’écris de Novossibirsk. Le temps est pourri, il y a des radiations, des mutants et des araignées mutantes partout, et pourtant ce n’est pas loin d’être le paradis.
Call of Duty : Infinite Warfare
Les ventes de la série Call of Duty ont amorcé un fléchissement depuis 2012. Les FPS d’Activision sont désormais semblables à des funambules à la recherche d’un équilibre entre tradition et innovation. Call of Duty peine à satisfaire différents segments de son public aux attentes antagonistes.
Resident Evil a toujours été une histoire de corps. Le septième épisode ne fait pas exception à la règle, tant l’horreur qu’il suscite repose sur le malaise physique.
Voilà, avec The Taken King, j’ai replongé dans Destiny. Dois-je m’en inquiéter outre mesure ?
Malgré ses multiples imperfections, Destiny nous rive à nos manettes, et il ne nous lâche plus depuis sa sortie. La faute à une boucle ludique proprement stupéfiante, qui nous happe comme ces chansons que l’on croit d’abord un peu niaises avant de se les repasser en continu.
Destiny a déjà réussi son lancement auprès de nombreux joueurs, dans le sillage d’une bêta prometteuse, mais le titre a-t-il de quoi tenir une franchise entière ?
Call of Juarez : Gunslinger résout le dilemme de la narration dans le jeu vidéo d’un coup de Winchester.
En 2013, il ne fait pas bon être vieux, ni nostalgique. Pour avoir été reconnu coupable des deux crimes, simultanément qui plus est, le jeu de SEGA l’a payé très cher.
Bioshock Infinite, chef-d’oeuvre du jeu vidéo contemporain ? On est loin du compte, tant sous les ambitions affichées, Irrational nous offre une dispendieuse bouillie narrative.