Zure a écrit:Il est super bien ton article au fait.
Merci. Entre nous, je trouve que Dittmar fait pas mal du Dittmar, mais j'ai essayé de tenir le cap.
laurentb a écrit:Pour moi ce qui tue-l'amour c'est la linéarité. Les nanas se promènent dans la forêt où il n'y a qu'un seul chemin de A à B, je peux pas. C'est bête mais il me faut l'iilusion de faire quelque chose par moi-même, même si ça veut dire remplir avec des trucs nuls, c'est pas grave, laissez-moi vivre quoi. C'est pour ça que je supporte Red Dead (ou le Witcher, le jeu préféré de Poisan), alors qu'un truc comme Quantum Break m'est tombé des mains très vite. Sinon j'ai l'impression de perdre mon temps avec un scénario qui se déclenche tout seul quand j'ai atteint le checkpoint, ça m'horripile.
Mouais, je sais pas. On peut tout à fait aimer ça et le reste. Ce qui est sûr, c'est que le jeu est clivant et que c'est sur ce point en partie qu'il a été critiqué puisque certains joueurs n'ont pas supporté qu'on leur fasse suivre des personnages dont ils n'approuvaient pas la quête. Pour pas mal de monde, le jeu vidéo doit consister à maîtriser des destins plutôt que d'accompagner des personnages qui ont leur liberté et leur mystère. Je suis pas trop d'accord avec ça, peut-être que c'est parce que je suis cinéphile, mais comme dit Zure tu ne peux pas faire ce que fait TLOU2 avec un film. Et puis, le jeu c'est essentiellement des arênes de stealth où tu es super libre dans tes options, donc je dirais pas que c'est du mode auto. Et puis bon,
The Witcher aussi est un jeu narratif sauf que l'histoire est mille fois plus con.
Martin a écrit:Non mais en fait je joue encore au jeu vidéo, juste le seul genre qui m'intéresse c'est le tableur. Là je suis dans une phase Civ 6, qui est un poil trop plein de sous-systèmes pour être honnête, mais la première partie (disons jusqu'à l'industrialisation) est assez fun.
Je suis moi-même HS niveau jeu vidéo. J'ai passé un an et demi à ne jouer pratiquement qu'à des jeux
Yakuza, et puis je n'ai plus envie (de toute façon je n'ai ni le temps, ni l'énergie) de suivre le rythme des sorties. Je risque de me retrouver plus qu'à faire 4-5 gros jeux par an (cette année, j'ai fait Sekiro, Death Stranding, FFVII, TLOU2 et deux courts jeux Nintendo à Noël) et ça me va très bien. J'ai toujours envie d'écrire, mais exclusivement selon une perspective critique je crois. Faire le journaliste, ça ne m'intéresse plus parce que ça implique de suivre l'actualité, et cette industrie m'emmerde, je la trouve franchement débile. Sans parler des communautés qui gravitent autour. Donc je suis très content d'écrire des bouquins, sans le stress des délais de rendus de la presse, ça me va très bien. Bref.
D'ailleurs Elincia, on ne te lit plus toi.
